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All Posts in “Event”

Category

Thomas Leabhart Jan 2016

December 21, 2015 / No Comments

Like every winter in Paris, the Pas de Dieux Company invites Thomas Leabhart to warm our bodies and hearts in a two-week workshop of Corporeal Mime technique of Etienne Decroux. This workshop’s theme will be “The Mobile Immobility – an Act of Passion”.

WORKSHOP:

“The Mobile Immobility – an Act of Passion”.

PARIS,
JANUARY 4-14, 2016

Monday 4 to Saturday 9 and

Monday 11 to Thursday 14

9am to 1pm

Total: 40h/ 330 €

Possibility of AFDAS funding (French Citizens Only).

Micadanses
15 rue Geoffroy L’Asnier, 75004 Paris
Metro, Saint Paul (line 1) or
Pont Marie (line 7)

FOR MORE INFORMATION:

Won KIM
+33 (0) 6 71 61 93 94

Leela ALANIZ
leela(at)pasdedieux.com

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Mim’provisation-20 nov

October 27, 2015 / Comments Off on Mim’provisation-20 nov

As part of the Biennale des Arts du Mime et du Geste 2015,  The companies Pas de Dieux and Mangano-Massip present to you a crowd favorite improvisational event, Mim’provisation:

 

November 20, 2015, 8pm

Akuarium

26 Rue André Joineau, 93310 Le Pré-Saint-Gervais
Metro Hoche (5 mins walking)

Audience : General, Length : 90 – 120 minutes

Entrance : 5 €

Invited Artists

Evening Presenter : Patrice Thibaud

Elena Serra
Maxime Nourrisat
Hanako Danjo
Nikolas Lévé
Janaina Tupan
Sébastien Loesner
Andrés Angulo
Esther Mollo
Eric Zobel
Guerassim Dichliev
Elisa Giovannetti
Sylvia Maria Alves
Eric Martin

Maëlle Leduc-Corbet
Philippe Chenevière
Gus Guillen
Léo Hatte

 

What is Mim’provisation?

Started in June, 2010, Mim’provisation grew out of the personal necessities of mime artists to improvise and challenge themselves and their craft. While contact improvisations, improvisational theatre, and breakdance battles already exist; Mim’provisation fills a gap and breathes fresh light air to the universe of physical expression. On this stage of corporeal improvisation, the intensity of a battle in front of a very critical audience results in poetic construction and unique expression. Rather than virtuosic performance measures, improvisational play focuses more on how the imaginary springs to life.

We are living in a post-modern era of mime where the original modern masters like Etienne Decroux, Marcel Marceau, Jacques Lecoq, and Henryk Tomaszewski have passed away, and where the art of mime has evolved into budding interdisciplinary variations such as mime-dance, clown mime, abstract mime, and physical theatre. Mim’provisation offers an encounter for today’s vast array of artists and their unique forms, personalities, and talent to come together to witness, share and play together. And through this live challenge and dialogue, a more heightened level of beauty and creative surprise blooms.

For the unsuspecting audience, Mim’provisation will awaken the imagination and touch the soul from laughter to amazement. Witnessing some of the best mime artists, they participate in the process of evolution of the contemporary mime that yearns to redefine itself beyond the dominant stereotype of the “white-masked pantomime”.

The event takes place in two parts:

In the first part, a group of selected or “invited” mime artists demonstrate their skills. They are guided by an invited master of ceremony.

In the second part, the public become the actors and are invited to improvise, in duo, trios according to a given theme.

 

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Reservation for Mim'provisation in Paris

 

Verification

 

 

Bruno Devismes’ review of “Snail Dreams”

October 16, 2015 / No Comments
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A dear mentor since 2004, Bruno Devismes has helped me with my Masters I and II thesis when I attended University of Paris 8.  Without his generous help of having to untie and fix my broken French, I would not have been able to advance with such flying colors in my evaluations.  But more than the results, he is a true wise man whom I have had the priveledge of spending hours pondering the significance of Heidegger, Art, and the world we live in today.

I thus want to share with you a sample of his wisdom which is written as an article personnally adressed to me.  I just find it too precious to just keep it to myself.  Unfortunately, it is written only in French.

You can also see and download the original article with images or read the text version below.

Enjoy,

Won

Download (PDF, 6.91MB)

———–

Mes commentaires sur « Le rêve d’escargot » –

spectacle de Won KIM présenté au Centre Culturel Iranien Pouya

le 26 septembre 2015

écrit par Bruno Devismes

Pour la première fois de sa déjà longue carrière d’acteur, co-fondateur il y a une dizaine d’années de la compagnie « Pas de Dieux », proposant à de longues cohortes d’étudiants et professionnels en arts du spectacle des formations et spectacles axés notamment sur la pratique du mime, Won KIM présente avec ce spectacle son premier solo.

Won Kim se situe dans le sillage d’Etienne Decroux et de Thomas Leabhart, ce dernier ayant été lui-même élève de ce précurseur souhaitant faire apparaître le mime comme pratique artistique à part entière.

Mais, également philosophe, il avance de « l’être » et de « l’étant » heideggérien vers le « parlêtre »,[i][1]ce qui ne lui était guère arrivé jusqu’à présent. Ainsi, il associe dans son solo, de façon harmonieuse et avec une très grande liberté, le geste et la parole.

A travers un récit né de son expérience personnelle, il amène le public à réfléchir et à avancer en liberté sur un chemin de vérité, en vue d’une « transcendance », pour reprendre un terme qu’il exprime par deux fois, dans sa signification « heideggérienne ».

Qu’est-ce qu’une parole libre? « C’est celle qui s’efforce de donner aux mots leur vrai sens, qui ne leur permet pas de mentir. Si chacun employait honnêtement les mots selon leur sens, et j’ose le dire, selon leur dignité – car il y a une hiérarchie des mots réservés, des mots sacrés dont l’abus est une sorte de profanation –, nos disputes ne compromettraient rien de précieux ».[2]

Cette interrogation liminaire est importante, car Won lance rapidement son spectacle dans une analyse « phénoménologique » très drolatique, du mot chaise : un objet destiné à s’asseoir pour les uns, un instrument pouvant servir à devenir champion de catch pour d’autres, ou encore un trône pour d’autres encore. Et encore, de quel trône s’agit-il : trône de Salomon et de la Sagesse, ou trône d’un dictateur de toute espèce ?

Mais le spectateur peut aussi se contenter de rêver sur l’image ci-dessous de « La chaise » de Van Gogh.

Pourquoi un escargot ?

En se référant à la volumineuse thèse de doctorat en études théâtrales de Won sur « Le contrepoids dans le monde contemporain », on peut repérer (en sa page 94 … sur 400 !) une citation explicative : « Selon Thomas Leabhart, Decroux « a importé sur scène un mouvement qui existait déjà dans la nature ». Il utilisait l’image de l’escargot pour décrire la qualité dynamique d’un mouvement qui avance, suivi d’une rétraction d’une partie du corps. Il disait que l’avancée lente et la rétraction de cette partie corporelle représentent les antennes de l’escargot qui sortent pour voir le monde, mais se rétractent dans sa coquille protectrice, parce que l’animal sent que le monde est trop laid et dangereux ».

Qu’est-ce qu’un escargot ?

Bien entendu, l’homme n’est pas un animal. Ici l’acteur et le philosophe renvoie à Heidegger et à Decroux, selon lesquels « cette distinction entre le monde des animaux et le monde de l’homme doit être clarifiée, et non pas séparée comme le fait la pensée cartésienne ». Notre monde, qui ne prend pas conscience « avec le corps », avec l’ « animus » de l’homme, c’est-à-dire l’« animal, l’être-là-déjà » vit dans l’inconscience ».

Mais « l’homme bénéficie, lui, d’une singulière aptitude à se transcender lui-même (qui va de pair avec la conscience de sa mortalité) et à se mettre à la place de l’autre. Il se pourrait que cette auto-transcendance trouve l’une de ses plus éloquentes expressions dans le souci qu’elle peut prendre de l’animal et de sa détresse. Ce serait aussi pour l’homme une manière de démontrer qu’il a une âme».

Un rêve autobiographique ?

On pourrait dire que l’acteur réfléchit sur son parcours personnel, l’ayant conduit à faire le tour du monde, depuis ses racines familiales coréennes jusqu’en Amérique, puis en Europe et encore au-delà.

En témoignent sa référence à Thomas Leahart, son maître en Californie, les cris de sa mère lui reprochant sa lenteur d’escargot : quitter sa patrie américaine et attendre onze ans pour créer son premier spectacle ! Et également une référence implicite à Leela Alaniz et à son solo : Le monde est rond de Gertrude Stein ?

Mais un escargot ne porte-t-il pas, de par sa nature, son domicile sur le dos ?

Won exprime également avec humour des interrogations sur son passé et son avenir. Ainsi, son travail persévérant sur « le contrepoids » n’aurait-il servi qu’à lui faire prendre du poids ! La rudesse du métier d’acteur l’oblige à professer également dans une école de commerce ; ou à faire du « marketing » pour mieux décomposer les gestes permettant le nouage d’une cravate, de façon de plus en plus pénible : un geste supplémentaire à accomplir à chacun de ses anniversaires ! Sur ce dernier point, quoiqu’ayant pas mal d’années de plus que Won, j’ai réussi à réaliser cette performance en moins de vingt gestes !

Ouvertures sur une « transcendance »  

Cependant, le rêve d’escargot, roi de la « lenteur », peut comporter des signes d’encouragement. Malgré sa vitesse de croisière d’environ 4 mètres à l’heure, il aurait réussi à coloniser la planète en commençant son voyage voici plus de 12000 ans. Won s’est-il transformé en escargot de mer afin de pouvoir traverser l’Océan Pacifique de son pays d’origine en Amérique, puis l’Océan Atlantique pour passer des Etats-Unis en Europe ? Son parcours qu’il décrit dans son spectacle constitue en tout cas pour le public un appel à la réflexion et à l’action.

En effet, dans son refus d’origine du « star system », la compagnie « Pas de Dieux » et le solo de Won en témoigne : malgré son appellation,  constitue une œuvre collective.

Quant à « la transcendance », quelle signification lui donner : un rêve, un mystère ? La nuit, l’escargot peut-il regarder une comète en spirale, à son image ?

Cette spirale fait-il rêver l’escargot – et notamment l’escargot de mer – de grandir comme une Tour de Babel susceptible de percer le ciel et de jeter à bas son créateur, selon la représentation de Brueghel  ? Mais non, l’escargot n’a pas de langage, et donc de désir de parler une langue universelle. A cet égard, serait-il plus intelligent que l’homme, de nos jours désireux ou contraint de parler anglais – ou plutôt américain – que ce soit sans ou avec Internet ?

En effet (page 187 de la thèse précitée) : « Les contrepoids de Decroux nous donnent les principes techniques pour découvrir le drame, le polemos, qui se révèle en prenant en charge notre corps comme être-en-corps au monde du Dasein. Comme Jacob et l’ange (E. Delacroix et Genèse XXXIII, 25-33), la lutte physique contre un pouvoir métaphysique (le Dieu ou le pouvoir d’un système social) représente la lutte pour le progrès et pour la libération de l’homme »

Mais il n’en pas ainsi. Pour Decroux, c’est la lutte pour l’autonomie du mime corporel parmi les autres arts majeurs autant que la lutte pour l’autonomie de l’acteur/auteur.

D’autres significations que celle donnée par Heidegger, exposée avec brio par Won dans sa thèse, peuvent s’appliquer au mot « transcendance ». Mais il ne l’explicite guère dans son spectacle.

Tout un chacun est amené cependant, en toute liberté, à s’interroger sur la signification pour lui de cette « transcendance » : sans se regarder dans un miroir narcissique, mais en relation avec son prochain et le monde, pour avancer dans la vie, en toute vérité.

De par ma nature assez peu familier de la philosophie allemande, la formulation de Pascal : «L’homme passe l’homme » : me semble mieux expliciter ce terme.

Ou celle de Saint Augustin, adepte dans sa jeunesse du « Gnöti seauton » de Socrate, qu’il complètera ainsi, après sa conversion : « Tu veux te connaître ? Connais Dieu – Tu veux connaître Dieu ? Connais-toi toi-même ».

Suite sans fin

Et voilà ! Avec « Le rêve d’escargot », Won nous fait faire le tour du monde. Il rejoint ainsi l’artiste coréen Lee Bae qui, dans une exposition qui se tient actuellement au Musée Guimet, « vient habiter (son) sommet. Dans la rotonde, il a posé ses instruments d’écriture : charbon et papier blanc qui partent d’une tradition et font une percée vers le rêve, le temps, l’ailleurs ». [3]

[1] Heureusement, dans son spectacle, Won n’emploie pas ces termes que beaucoup de spectateurs non-philosophes n’auraient probablement pas compris, et traduits dans leur langage par « le hêtre », « l’étang », le paraître ». Ainsi, certains d’entre eux ont peut-être traduit dans leur langage, le mot « transcendance » qu’il emploie  par « transe en danse » ?

[2] Georges Bernanos, février 1939 (Essais et écrits de combat – Brésil, terre de l’espérance).

[3] exposition en prélude d’une saison coréenne – Editorial n°5 du magazine du musée – septembre-décembre 2015

Et peut-être, en regardant sa fille venue le féliciter à la fin de son spectacle, Won arrivera-t-il à faire un nœud de cravates en deux gestes ?

Merci, Won, de nous entraîner, après Gaston Bachelard, dans « La poétique de la rêverie ! »

 

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MetaFora – Paris Oct 23

October 15, 2015 / Comments Off on MetaFora – Paris Oct 23

We are excited to announce an event of corporeal improvisation that will surprise you, MetaFora:

 

October 23, 2015, 8pm

Micadanses

15 Rue Geoffroy l’Asnier, 75004 Paris

Studio May B

Public : Tout Public Durée : 90 – 120 minutes

Entrance : 5 €

BRINGING METAPHORS TO LIFE THROUGH CORPOREAL IMPROVISATION

MetaFora presents a form of improvisational theatre based on corporeal and vocal expression. Unlike the ‘battles’ that focus on virtuosic performance, the stage intensity result from the challenge of bringing to life a metaphor. In front of an audience, the actors/dancers/singers/musicians have only a few minutes to transport the audience into a poetic universe. Metaphor, “Meta” derives from the Greek meaning “across, and after,” and “phor” (pherō), meaning “I bear, carry”. “Metafora” is the Portuguese translation. While it carries the same sense as in English, “Meta” can also mean “goal” and “fora” mean “outside”. Thus, the goal of the metaphors is to stretch the boundaries of the imagination beyond the habitual and the mundane. It is going “in through the outdoor” according to Led Zeppelin. The event takes place in two parts: In the first part, a group of selected or “invited” performing artists play together based on random hat selection. In the second part, the “invited” performing artists improvise with volunteers of the public in duo, trios.

 

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More info on Micadanses site (French)

 

Reservation for MetaFora in Paris

 

Verification

 

 

Biennale des Arts du Mime et du Geste

October 11, 2015 / No Comments
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Company Pas de Dieux participates in the Biennale des Arts du Mime et du Geste 2015.

From November 12 to December 16, 2015

This Biennale is an event proposed by the grouping of territories of GLAM (Groupe de liaison des Arts du Mime et du Geste) and organized by the Collectif des Arts du Mime et du Geste, in collaboration with several actors of the profession.  Between the Festival Mimesis at IVT, International Visual Theatre — Paris from November 12 to 15 and the Plateaux du Groupe Geste(s) at Chatillon Theatre, December 16, many other events are programmed under the banner of the Biennale in order to expose to a larger audience the dynamism of contemporary Art of Mime and Gesture.

Attachées de Presse : Barbara Augier • Isabelle Béranger • 01 44 64 74 43
Barbara 06 63 84 45 73 • Isabelle 06 08 60 14 17
22, cité industrielle • 75011 paris • contact@bipcom.fr
http://www.bipcom.fr

Coordination : Collectif des Arts du Mime et du Geste
Sara Mangano : 06 03 24 55 75
Elena Serra : 06 62 42 23 52
Luis Torreao : 06 81 59 80 05

artsmimegeste@gmail.com

www.collectifartsmimegeste.com

Download (PDF, 792KB)

Logo_ministere_culture_et_communication

Avec le soutien du
Ministère de la Culture et de la Communication
DGCA (Direction Générale de la Création Artistique)

 

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Snail Dream solo at Centre Culturel Pouya

September 5, 2015 / No Comments

My Dear Friends,

After many years of not performing, I am finally in the process of creating a solo performance. It will be work-in-progress and only 30 minutes. But I would love to share what I have so that there will be room for your input. I hope you can come and share a wonderful evening of a show and dinner.

Please reserve as there are only 50 places and dinner needs to be prepared in advance.

Centre Culturel Pouya

48 bis Quai de Jemmapes
75010 Paris

Saturday 26 September

7pm
5€ Entrance +
6€ or 8€ Dinner (with reservation)

After the show:

Iranian Dinner Menu

6 €  Kashk Badémjan (Aubergine Purée) : aubergine, kashk (strong cheese), grilled onions, garlic, dried mint, and olive oil

8 € Ghormeh Sabzi with rice (stew) : red beans, herbs, dried lemons, onions

 

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Reservation for Snail Dream - Paris

 

Verification

 

 

Snail Dream

What would the world be like if we can see like a snail? It’s curious antennaes, which are actually its eyes, reach out to the world and quickly retract in seeing how cruel and ugly it can be. It is very sensitive and can easily be crushed and eaten. It lives in direct contrast to the economic values that model our society and business which are based on faster, farther, and cheaper. It has nothing to compete against. It’s race is just to survive. It’s accomplishments are just moving to a better leaf and a cooler shade. We may mock it as lazy and stupid, but look closer and we see that it is constantly moving, constantly searching, and constantly feeling.

My life as an artist is like this snail. I am 42 years old and this is my first solo. From an outside perspective, I am moving pathetically slow. However, I have been so busy. But accomplishing what? My mother wants to know. So, I guess this is my opportunity to show and to share of a bit of a journey of this snail.

Show written and produced by Won KIM

Poster and Artwork: Federico Sancho

Wham Bam at BE Festival 2015

July 19, 2015 / No Comments
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Wham Bam! and the Corporeal Improvisation workshop

I have attached the photos taken by Jemina Boraccino for the workshop and the Wham Bam event which took place at the BE Festival on Wednesday June 24, 2015. For me, it was a unforgettable 45minute experience to share my passion with performance artists from many parts of Europe and even Tunisia.

Although the Wham Bam! event itself was constrained by time (we only had 45 minutes), everyone had a chance to participate and to express themselves… even Erin, my 21 month-old daughter. Her participation was a true surprise and an extra gift in this world of improvisation.

What is Wham Bam! ?

Budding actors, musicians and dancers of all backgrounds are invited to play together using the language of body and movement. The goal of this workshop is to establish a common ground for listening where different styles of movement can come together. Participants will discover the differences between dramatic movement and lyrical movement, as well as mime, mimic and mimesis as modes of communication.

After the workshops participants will get the chance to perform as part of Wham Bam! Let’s get it on ma’am, a unique improvisation event where dance, theatre, mime and music, both professional and amateur, collide in an improvised play.

[az_button_sh inverted=”true” target=”_self” buttonsize=”button-medium” buttonlabel=”Visit Wham Bam page” buttonlink=”/portfolio/wham-bam/” class=”” icons=”font-icon-text”] [/vc_column_text]

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